Publié dans Société

« People » - Union civile de Wilson Stuart et Lucien Irmah Naharimamy

Publié le dimanche, 26 juillet 2020

Le chargé d’affaires de l’ambassade américaine Stuart Wilson et la ministre de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme se sont dits OUI. Cette nouvelle a captivé l’attention des internautes samedi dernier. Après une relation amoureuse de deux années, ces deux personnalités publiques ont fait reconnaitre leur union aux yeux de la loi malagasy.

Après leur signature du registre d’état civil, quelques clichés ont vite circulé sur la toile. D’après les images qui ont été partagées, cette union civile entre le diplomate Wilson Stuart et le numéro un du ministère de la Population, Lucien Irmah Naharimamy a été officialisée par le maire d’Antananarivo, en la personne de Naina Andriantsitohaina. 

Compte tenu de la période de confinement, la salle de mariage de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) n’a invité que l’ambassadeur des Etats-Unis, les nouveaux mariés ainsi que leurs témoins  respectifs. N’ayant pas prévu une grande festivité,  le couple n’a convié qu’une dizaine d’amis intimes et de familles au restaurant La Varangue. Selon une source sûre, le couple attend actuellement son premier enfant. 

En outre, les félicitations fusent de toutes parts. « Félicitation à madame la ministre de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme et ministre-coach de la Région Atsinanana. Pour la célébration de leur mariage civil, nous tenons à adresser au couple Wilson nos vœux de pur bonheur, de longévité et de prospérité », a adressé le gouverneur de la Région Atsinanana, Rafidison Richard Théodore sur sa page Facebook. 

Recueillis par K.R. 

Fil infos

  • Hauts emplois de l’Etat - Pluie d’abrogations au ministère des Finances et celui de l’Education nationale  
  • UE- Madagascar - Vers un dégel des certains financements 
  • Actu-brèves
  • Réunion de l’OMC nationale à la Primature - Sécurité et stabilité au menu
  • Tentative de dissolution de la Fédération - Le football malgache en danger
  • Université d'Antsiranana - La paix restaurée
  • Sahara Marocain au Conseil de sécurité l’ONU - Victoire du Maroc et consécration de l’initiative d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine
  • Vie de la Nation - Madagascar, cobaye des politiciens
  • Perquisition au groupe Sodiat Talatamaty - Pillage et razzia sur des véhicules
  • Actu-brèves

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

A bout portant

AutoDiff